Fort en gueule, avec une gouaille de Titi parisien, Yvan Gervreau était toujours flanqué de son chien, un énorme dogue allemand, qu’il avait nommé Igor.
Notes pérégrines…
Fort en gueule, avec une gouaille de Titi parisien, Yvan Gervreau était toujours flanqué de son chien, un énorme dogue allemand, qu’il avait nommé Igor.